Ça y est, nous y sommes! Décembre. Dernier mois de l’année. Dernier espoir de tenir encore les bonnes résolutions fièrement énoncées il y a déjà onze mois.
Dernière ligne droite d’une année qui aura été encore bien tordue, coincée entre des Jeux Olympiques et une Coupe du monde de football organisés dans deux pays aux mœurs humaines plus que discutables.
Une année d’élections pestilentielles des deux côtés des Alpes. Une année où Dame Nature a décidé de se rappeler au quotidien à notre bon souvenir, multipliant les signes, faisant mentir celles et ceux qui pensent qu’un seul suffit.
Dans 31 jours, nous tirerons un trait sur ces 365,25 jours. Nous reprendrons de belles résolutions. Nous nous efforcerons de les tenir plus qu’une semaine et nous nous persuaderons que, comme le disait le grand philosophe et penseur Pascal Obispo, le meilleur reste à venir (les puristes ajouteront qu’il ne l’a pas dit tout seul, puisque Zazie l’a aidé… et ils auront raison!)
Pourquoi ne pas raisonner «out of the box», comme on dit en bon français? Pourquoi ne pas imaginer faire part de ses bonnes résolutions à tenir un mois avant le réveillon? Avec, comme avantage, que l’épreuve ne dure de toute façons qu’un mois!
Allez, je me lance… Avec cette Littéra/Avent-ture, je crée officiellement le premier calendrier de l’Avent littéraire. Chaque jour, d’ici au 24 décembre (et plus tard encore si envie, si affinités, si inspiration(s) et si l’icone – mais juste pour les pro-thèses), je m’engage à publier une petite nouvelle, une histoire courte, un récit plus ou moins en relation avec la période de Noël. Parfois ce sera sans doute plus que moins, autant prévenir le lecteur impatient à l’avance…
Des nouvelles de Noël. Des noëvelles, donc…
Vous m’en direz des nouvelles!