Coucou les gens!
On ne se lasse pas de cette chanson, jouée en acoustique avec délices (et avec une guitare, aussi…)
«Je laisse derrière toi des mégots de Boyards» (dans Vendôme Gardenal Snack)
Peut-être les heureux témoins de l’actuelle tournée vapotent-ils une Boyard? Cette cigarette électronique est présentée comme étant la plus performante sur le marché, grâce à son nouveau «nano processeur» de folie et ses batteries «Pearl» longue durée qui permet d’offrir un volume de fumée inégalée (c’est la pub qui le dit, c’est pas moi!)
Cet objet n’existait évidemment pas lorsque HFT a écrit cette chanson (publiée sur «De l’amour, de l’art ou du cochon» en 1980). En ce temps-là, les fleurs ne vendaient pas nécessairement leur viande aux chiens, et Boyard était une marque de cigarette française, connue pour être plutôt «forte» en goudron (aucun lien de parenté avec moi, je précise…), produite à partir de 1876 jusqu’en 1977, date à laquelle la Manufacture des tabacs d'Issy-les-Moulineaux cessa toute production.
Il n’y a rien à voir non plus, donc, avec la monnaie que l’on gagne dans le Fort du même nom, en suivant trois nains et en répondant aux énigmes d’un petit vieux barbu…
Lâchez les tigres, il n’y a plus rien à voir…
Publication inspirée de l'ouvrage "Exercice de simple éducation avec dix fois le mot paradis", que vous pouvez trouver ici!!
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